Impossible de ne pas faire de mal….

Malheureusement, on ne peut pas rompre sans blesser ! Et commencer une histoire, c’est prendre le risque de souffrir. On doit cependant blesser le moins possible.

… Mais rompre est un acte courageux

C’est courageux d’oser rompre si on se rend compte que cette histoire ne peut pas déboucher sur un engagement. Quand vous sentez que vous ne pouvez plus avancer avec l’autre, c’est bien d’avoir le courage de ne pas laisser la situation s’installer et de rompre le plus tôt possible.

Lors de la rupture, il peut être bien de pouvoir dire « j’avais du sentiment amoureux mais je découvre que ce n’est pas de l’amour », ce qui veut dire que le sentiment d’attirance, le sentiment amoureux ne s’inscrit pas dans la durée.

Parler de ses propres limites plutôt que des défauts de l’autre

Par ailleurs, il vaut mieux dire « je ne me sens pas capable de… » que « tu m’énerves » ; en d’autres termes, il est plus délicat de parler de son impossibilité  à aimer, de ses limites plutôt que de celles de l’autre. redire pourquoi on a  été attiré, dire les qualités que nous trouvions chez  l’autre, le mettre  en valeur, rappeler les bons moments qui nous ont fait grandir. Ce bilan pourra permettre à l’autre de ne pas avoir une estime de soi trop abîmée… On peut également demander pardon pour la souffrance causée.

Préférer le face-à-face plutôt que la lettre. Une lettre de rupture est  comme un couteau qui reste dans la plaie, sauf si vous craignez une réaction violente