Le conjoint a des difficultés personnelles (dépression, difficultés professionnelles, chômage, problème de santé de lui, de vous ou d’un de vos enfants …).

Le conjoint, alors qu’il était enfant, a vécu l’infidélité d’un de ses deux parents sans qu’elle soit mise au grand jour, et sans qu’elle soit signifiée par des mots au moment où elle était subie par l’enfant.

Les époux, pris par les tracas du quotidien, n’ont plus réservé assez de temps pour leur couple et leurs échanges en profondeur se sont amoindris. L’attention mutuelle des époux s’est relâchée.

Le conjoint, peut être dans sa « crise de milieu de vie » et avoir envie de lâcher toutes ses responsabilités familiales si pesantes pour lui. 

Le conjoint non averti qu’il peut rencontrer une  passion amoureuse en dehors de son couple, s’y laisse entraîner, parce qu’elle flatte son égo et lui apporte un bain de jouvence immédiat. Il se laisse emporter dans une spirale de mensonge sans fin, dont il n’a pas la force morale de sortir. Il est important de connaître les conséquences psychologiques qu’entraîne l’adultère, à la fois chez la personne qui le commet et chez la personne qui le subit.

La transgression de l’interdit est plus ou moins ancrée chez les personnes, peut-être  selon leur éducation, et le commandement de la fidélité dans le couple n’est pas ressenti par tous comme une nécessité impérieuse.

Etre attentif, à l’écoute de l’autre, ne pas relâcher le dialogue. Vouloir et savoir se remettre en question.  

L’origine de beaucoup d’infidélités est sexuelle. Sans pour autant perdre son âme, il faut avoir le courage de dire ses insatisfactions, ses désirs mais aussi entendre et écouter ceux du conjoint. 

Lorsqu’une incompréhension surgit, prendre le temps de la résoudre. Se faire aider. Jour après jour, anticiper les risques en étant attentif et vigilant, à l’écoute de l’autre ; en veillant à ne pas relâcher le dialogue. Vouloir et savoir se remettre en question.